Médecins libéraux, vous êtes titulaire d’un contrat de prévoyance ?


N’attendez pas d’être malade pour réévaluer vos niveaux de garanties incapacité de travail et invalidité mais également décès, afin qu’ils soient ajustés à l’évolution de votre situation professionnelle et en adéquation avec votre cadre de vie familiale actuel !


Il est en effet possible et fortement conseillé de faire évoluer vos niveaux de garanties en parallèle de l’évolution de votre chiffre d’affaires de l’année précédente, tant sur vos revenus que sur vos charges.

En cas d’arrêt de travail, vous serez en effet indemnisé(e) sur la base de vos revenus déclarés fiscalement, mais limité(e) au niveau de garantie souscrit et sous déduction des prestations versées par le ou les régimes obligatoires (indemnités journalières de la sécurité Sociale et de la CARMF).

L’APPA peut également vous accompagner dans le cadre de l’évolution de votre vie familiale, vous permettant d’augmenter vos garanties en cas de décès (jusqu’à un million d’euros) et éventuellement de prévoir des rentes conjoint(e) et éducations.

En tant que TNS (Travailleur Non Salarié), vous bénéficiez du dispositif Madelin et, à ce titre de la déductibilité des cotisations versées au titre de vos contrats prévoyance et santé, selon la réglementation en vigueur.

Vos conseillers BESSE, experts en protection sociale et spécialistes des contrats APPA peuvent vous guider dans ce sujet complexe mais au combien nécessaire et important.

N’hésitez pas à les contacter : 09 69 36 37 10 / gestion.appa@besse.fr.

Bon à savoir :

Adhérent(e) à l’APPA ? Votre attestation de déductibilité des cotisations 2023 au titre du dispositif « Madelin » vous sera adressée dans le courant du mois de Mars 2024.

Congrès 2024 : L’APPA va à votre rencontre


Cette année, l’APPA sera présente sur de nombreux congrès.

Sortez vos agendas et saisissez ces opportunités pour rencontrer notre équipe d’experts :


  • Encéphale : au Palais des Congrès de Paris, du 24 au 26 janvier, assistez à l’événement de référence dans le domaine de la psychiatrie et de la santé mentale.
  • Hopipharm : au Carré des Docks du Havre, du 29 au 31 mai pour découvrir les dernières tendances en pharmacie hospitalière.
  • Urgences : au Palais des Congrès de Paris, du 5 au 7 juin pour découvrir les dernières innovations en matière de soins d’urgence.

  • SFAR – Société Française d’Anesthésie et Réanimation : au Palais des Congrès de Paris, du 18 au 20 septembre. Pour découvrir les dernières innovations en anesthésie et réanimation.
  • SIP  – La Société de l’Information Psychiatrique : au Palais des Congrès d’Arcachon du 3 au 5 octobre. Venez assister à la 42ème journées,  dédiée aux troubles psychiatriques et différences sexuelles.
  • CFP – Congrès Français de Psychiatrie : au Couvent des Jacobins à Rennes du 27 au 30 novembre, sous le format Phygital, le thème de cette édition sera autour du mot « esprit ».

Nous sommes impatients de participer à ces événements et espérons vous y retrouver nombreux pour des échanges enrichissants.

Retour sur les partenariats 2023 entre l’APPA et les intersyndicales


L’association APPA soutient depuis de nombreuses années les intersyndicales et syndicats de praticiens hospitaliers.


Le souhait du Conseil d’Administration est de nouer avec ces organisations un partenariat pour informer leurs adhérents de l’existence de l’association APPA, de ses valeurs de solidarité et de confraternité (gouvernance par des praticiens hospitaliers bénévoles) dans un cadre associatif et non lucratif.

Il s‘agit de les sensibiliser sur les lacunes statutaires des PH & HU en matière de protection sociale, notamment sur les dispositions qui leur sont applicables en cas d’arrêt de travail (maladie, longue maladie, longue durée).

Les informations mises à disposition des intersyndicales et des syndicats sont ensuite retransmises à leurs adhérents par leurs canaux d’information habituels (newsletters, communiqués, revues, etc.). Ces informations insistent sur la nécessité de souscrire des contrats performants et adaptés à leurs statuts, auxquels l’association leur facilite l’accès.

Nous vous informerons prochainement sur les partenariats qui seront développés en 2024 avec les intersyndicales et syndicats !

Visioconférence du SMR  – Le syndicat des Médecins Réanimateurs

Assistez à la visioconférence organisée par notre partenaire SMR le jeudi 8 février de 15h00 à 16h00.
Le thème de cette visioconférence portera sur l’Histoire de l’Éthique en réanimation.
Elle sera animée par Jean-Philippe RIGAUD, Jean-Roger LE GALL, Hervé OUTIN et René ROBERT.
Inscription à la visioconférence

Internes et Docteurs Juniors : l’APPA décrypte pour vous, vos primes et indemnités


Que vous débutiez ou non votre activité à l’hôpital, il est essentiel de bien comprendre les différents éléments et montants présents sur votre bulletin de paie.


L’APPA met à votre disposition sa fiche incontournable pour décrypter votre bulletin de paie, pour y accéder cliquez sur ce lien.

N’hésitez pas à la relayer auprès de vos collègues.

Pour aller plus loin, vous trouverez ci-dessous le détails des émoluments hospitaliers et revenus complémentaires propre à votre statut.

Les émoluments hospitaliers au 1er juillet 2023

ÉMOLUMENTS Ils constituent la base de votre rémunération et sont variables en fonction votre année d’internat et votre statut
InterneBrut AnnuelBrut mensuel
Année 119 406,35 €1 617,19 €
Année 221 483,24 €1 790,25 €
Année 328 408,30 €2 367,35 €
Année 428 430,36 €2 369,16 €
Année 528 448,22 €2 370,68 €
Docteur Junior  
Faisant fonction d’interne17 745,47 €1 478,78 €
Année de phase 328 495,49 €2374,62 €
Seconde année de phase 328 495,49 €2374,62 €

Les revenus complémentaires au 1er juillet 2023

GARDES : Le service de garde normal comprend une garde de nuit par semaine et un dimanche ou jour férié par mois. La période de nuit peut être divisée en deux demi-gardes

ASTREINTES : Dans les centres hospitaliers régionaux faisant partie de centres hospitalo-universitaires, il peut être organisé un service d’astreintes auquel participent les internes affectés dans l’établissement. Comme en service normal de jour, l’interne en service d’astreintes doit pouvoir faire appel à un praticien senior à tout moment.

INDEMNITÉ COMPENSATRICE D’AVANTAGES EN NATURE :  est versée en fonction des avantages en nature, logement et/ou nourriture, dont bénéficient l’interne dans son établissement d’affectation, une indemnité compensatrice lui est, ou non, versée.  Les étudiants nourris et logés par leur établissement ne perçoivent pas d’indemnité.

SUPPLÉMENT FAMILIALE DE TRAITEMENT :  il s’agit d’un complément de rémunération versé à tout agent public qui a au moins 1 enfant de moins de 20 ans à charge.

INDEMNITÉS POUR PARTICIPATION À DES ENSEIGNEMENTS, JURYS, CONCOURS : des indemnités pour participation, en dehors des obligations de service, à des enseignements et aux jurys de concours, à l’enseignement et à la formation des personnels des établissements hospitaliers peuvent être versées aux internes assurant, à titre d’occupation accessoire, pour le compte de l’administration, une activité d’enseignement ou le fonctionnement de jurys d’examens ou de concours.

INDEMNITÉ SPÉCIALE SELON LE DROM D’EXERCICE : une indemnité spéciale non soumise à cotisation au régime de retraite complémentaire est versée aux internes qui exercent leurs fonctions dans un lieu de stage agréé dans certaines collectivités ultramarines. 

INDEMNITÉ DE SUJÉTION : il s’agit d’une compensation financière liée aux contraintes subies et des risques encourus dans l’exercice des fonctions de l’interne. Le versement de cette indemnité prend fin à l’entame du 5ème semestre d’internat.

PRIME DE RESPONSABILITÉ : versée aux internes de médecine générale lorsqu’ils accomplissent un Stage Autonome en Soins Primaires Ambulatoires Supervisé (SASPAS) et aux internes de médecine, pharmacie et odontologie à partir de leur quatrième année d’internat.

PRIME D’AUTONOMIE SUPERVISÉE : versée mensuellement aux docteurs juniors. Si le docteur junior ne bénéficie pas dans l’établissement ou l’organisme d’affectation du logement, de la nourriture, du chauffage et de l’éclairage, il reçoit une indemnité représentative, selon le cas, de tout ou partie de ces avantages.

Pour plus d’information, rendez-vous sur le site de l’association APPA.

« Coup de Blouse » : l’interview du Dr. Jean-Victor Blanc Fondateur de Pop & Psy


Médecin psychiatre, auteur, conférencier, créateur du concept “Pop & Psy”, Dr. Jean-Victor Blanc est un praticien hospitalier inépuisable, surtout lorsqu’il s’agit de lutter contre les idées reçues sur la santé mentale. Il s’appuie notamment sur la pop culture et un festival innovant, dont la deuxième édition a une nouvelle fois bien mérité son succès…


« Le secteur des soignants n’est pas épargné par le burn out, ni par la question des troubles psychiques au travail, au contraire. Des choses qui seraient inacceptables dans le monde de l’entreprise sont malheureusement fréquentes à l’hôpital. » 

Dr. Jean-Victor BLANC

J’ai fait médecine à Rennes, en Bretagne. Je n’avais pas spécialement d’idée de ce que je voulais faire, contrairement à certains amis pratiquement nés avec un stéthoscope dans la main… Moi, j’hésitais encore entre plein de choses, mais j’ai eu le concours dès la première année, donc j’ai continué dans cette voie, même si j’ai toujours trouvé les études assez pénibles, très scolaires et pas du tout créatives. En 4ème année, j’ai rencontré la psychiatrie lors d’un stage d’un mois dans un service assez classique et dans lequel je me suis senti vraiment bien. J’étais fasciné par les pathologies, les patients et ça a été un vrai déclic. Il y a d’autres choses qui m’intéressaient dans la médecine mais, à chaque fois, je n’arrivais pas à me projeter dans d’autres spécialités, à parler toute la journée du foie, du cœur des gens ou encore moins d’opérer… Avec la psychiatrie, j’ai découvert une spécialité très variée, très axée sur la culture, dans laquelle les gens ne parlaient pas que de médecine. J’ai ainsi eu envie de m’orienter vers cette discipline, mais je ne voulais pas que ce soit un choix par défaut et je voulais aussi venir à Paris. Donc je me suis mis un peu la pression pour le concours de l’ECN que j’ai préparé en me disant qu’il fallait que je le réussisse pour me permettre d’avoir le choix. Finalement, je l’ai eu et j’ai donc pu choisir de devenir psychiatre à Paris. Je n’ai jamais regretté et c’est toujours un vrai plaisir d’apprendre et d’exercer ce métier…

Pendant l’internat, j’ai exercé dans différents hôpitaux. J’avais découvert, lors de mon premier stage, le service psychiatrie de l’hôpital Saint Antoine, à Paris ; c’est un service ouvert universitaire avec un mode de fonctionnement assez particulier mais qui m’a beaucoup plu… Après mon internat, j’ai fait un petit peu de remplacement en libéral, mais la contrainte temporelle et économique de devoir voir beaucoup de patients en peu de temps ne me correspondait pas. J’ai eu alors la chance de revenir à Saint-Antoine pour mon clinicat et j’y suis resté ! Aujourd’hui, je suis très content d’exercer à l’hôpital public, malgré toutes les difficultés auxquelles il est confronté, mais j‘essaie d’y croire et de me dire qu’on a vraiment de la chance d’avoir ce système-là. L’exercice hospitalier permet également de ne pas avoir de rapport financier avec ses patients et de diversifier son activité – même si je suis désormais à temps partiel, surtout dans un établissement et un service qui proposent à la fois de la consultation, de la recherche et de l’enseignement.

Il faut revenir à mon premier stage en psychiatrie, lorsque que j’étais encore étudiant en médecine et que je travaillais sur la schizophrénie. J’étais allé voir Black Swan au cinéma et j’ai retrouvé plein de symptômes, dans le film, qui ressemblaient à ceux que les patients décrivaient et je n’arrivais pas forcément à bien comprendre à l’époque. Ça a vraiment été un choc visuel et intellectuel ! Ensuite, durant l’internat, je me suis assez vite intéressé à la question du stigmate de la psychiatrie et des patients parce que les deux sont liés. Il faut comprendre, encore aujourd’hui, que les psychiatres ne sont pas toujours considérés comme de “vrais” médecins. Et que beaucoup de personnes considèrent que les patients qui vont mal n’ont qu’à se secouer, que la dépression n’est pas une maladie et que, par conséquent, nous, psychiatres, nous ne soignons pas de vraies maladies… J’ai ainsi fait ma thèse sur la représentation des médicaments anti-dépresseurs chez les patients pour comprendre et montrer à quel point ils sont stigmatisés. Dès cette époque, j’avais envie de créer des passerelles et d’aborder ces questions à travers une approche plus large, qui est également sociale et sociétale. 

L’idée concrète de Pop & Psy est arrivée pendant mon clinicat, lorsque l’on m’a proposé de faire une conférence sur la santé mentale en direction d’un public jeune et pour laquelle j’avais carte blanche. Étant un grand amateur de pop culture et l’actualité étant prolifique sur ce sujet (Britney Spears, Thirteen Reasons Why…), plein de sujets commençaient à émerger et la conférence a eu un grand succès : il y a eu beaucoup de monde et un fort intérêt médiatique, ce qui m’a permis de renouveler l’exercice à plusieurs reprises et de rencontrer Florence Trédez, journaliste à Elle, dans le cadre d’une interview. Ca a été un vrai coup de coeur amical et professionnel ! J’ai pu écrire un livre, Pop&psy, puis il y a eu d’autres conférences, les ciné-clubs, un podcast chez Majelan à travers lequel j’ai fait la connaissance d’Emmanuelle Fellous. Ensemble, tous les trois, on s’est lancé dans cette folle aventure de créer un festival dédié à la santé mentale…

L’idée du festival “Pop & Psy” est venue avec l’envie de pouvoir traiter davantage de sujets que dans le cadre d’une conférence, de partager, d’échanger et d’interagir avec des personnes issues d’horizons très variés : psychiatres, cliniciens, personnalités, artistes, représentants associatifs, etc.  On avait envie d’allier quelque chose de très scientifique et clinique à quelque chose de grand public, ludique et fun, le tout dans une ambiance pointue au niveau artistique et dans un lieu festif. Ground Control, à Paris, était l’endroit évident : ce n’est pas un lieu de soin ni d’enseignement, mais un lieu de rencontre, de fête et d’échange, à l’image de ce qu’on imaginait pour le festival et dans lequel on se sent bien, y compris pour parler ou entendre parler de ses propres problèmes… Lors de cette deuxième édition, on a notamment évoqué le  “coût mental” du racisme ; c’est un sujet souvent éludé, particulièrement en France où on est très frileux sur cette question. On a également interrogé la santé mentale des hommes et les stéréotypes de genre, l’intelligence artificielle avec Cynthia Fleury, le métier d’artiste avec Camille Lellouche, etc. On espère faire d’autres éditions, car le sujet est tellement vaste qu’on peut le creuser et le traiter sous plein de manières différentes. 

C’est un vrai sujet que l’on a également traité lors du festival. L’univers des soignants n’est pas épargné par le burn-out, loin de là, ni par la question des troubles psychiques au travail. Des choses qui seraient inacceptables dans le monde de l’entreprise sont malheureusement fréquentes à l’hôpital, comme le fait, par exemple, de ne jamais avoir de visite médicale. La prise en compte de la santé mentale des soignants n’est pas toujours optimale pour plein de raisons, souvent complexes, structurelles et liées à une certaine “culture” du métier. Pourtant, la santé mentale concerne tout le monde, donc être soignant, même psychiatre, ne protège évidemment pas des troubles psychiques. Il faut libérer la parole sur le sujet : on peut avoir un trouble dépressif, une addiction et être infirmier ou médecin ! Et ce n’est pas parce que nous sommes soignants en santé mentale que nous sommes indemnes des idées reçues sur le sujet. L’enjeu pour nous est également d’incarner ce sujet et d’en faire quelque chose de positif en encourageant les personnes à prendre soin d’eux et à en parler…

Praticiens hospitaliers, les contrats de l’APPA vous accompagnent au-delà de l’âge légal de la retraite !


Vous souhaitez poursuivre votre activité professionnelle dans le cadre d’une prolongation d’activité ?

Les contrats de l’APPA restent en vigueur dans les mêmes conditions !

  • En prévoyance, pour vous prémunir d’une perte de rémunération en cas d’arrêt de travail ou pour vous permettre de protéger vos proches et votre patrimoine en cas de décès ;
  • En santé, afin de faire face, pour vous et/ou votre famille, aux dépenses de santé et de soins.

Vous cessez votre activité pour profiter pleinement de votre retraite ?

L’APPA a mis en place un contrat santé spécifique et 100 % adapté à vos besoins en renforçant son remboursement sur les prothèses auditives. Vous pouvez également choisir de vous couvrir seul ou pour l’ensemble pour votre famille (conjoint, enfant).

Les équipes BESSE sont disponibles au 09 69 36 37 10 / gestion.appa@besse.fr

Professions libérales : le dispositif de déductibilité Madelin des Contrats APPA


La loi Madelin, c’est quoi ?

Elle a été créée par la loi du 11 février 1994, dite « Loi Madelin » dans le but d’inciter les Travailleurs Non-Salariés (TNS) à se constituer eux-mêmes leur propre protection sociale pour palier les carences du régime obligatoire notamment pour les risques arrêt de travail, invalidité ou décès.


Qu’est-ce qu’un contrat Madelin ?

Les contrats Madelin permettent aux TNS d’obtenir une déductibilité fiscale de leurs cotisations aux contrats d’assurance pouvant être souscrits dans le cadre fiscal de cette loi.

Les contrats Madelin de l’APPA :

Les contrats Madelin de l’APPA :

Les médecins libéraux, ne profitent pas de la même protection que les salariés. La loi Madelin permettant la mise à disposition d’un ensemble de contrats déductibles, l’APPA a mis en place et propose aux médecins libéraux adhérents :  

  • Un contrat Madelin prévoyance
  • Un contrat Madelin santé (mutuelle)

Qui peut bénéficier d’un contrat Madelin ?

Les personnes pouvant souscrire à un contrat Madelin sont les médecins libéraux ou les PH avec une activité libérale qui relèvent soit de l’impôt sur le revenu en catégorie BIC, soit de l’impôt sur le revenu en catégorie BNC et qui sont affiliés à la CARMF.

Afin de pouvoir souscrire à ce type de contrat, il est impératif d’être à jour du  paiement de ses cotisations sociales obligatoires.

Quels sont les avantages des contrats Madelin de l’APPA ?

Les contrats Madelin permettent aux médecins libéraux de compléter leur protection sociale avec l’avantage d’être déductibles en charge.

Suivant le contrat souscrit, une partie de vos cotisations peut être déduite de votre revenu professionnel imposable, dans la limite du Plafond Fiscal de la Sécurité sociale (PASS).

Quel montant déduire au titre du dispositif Madelin des contrats APPA ?

Afin de simplifier vos démarches, une attestation annuelle est adressée à chaque adhérent APPA bénéficiant d’un contrat Madelin au plus tard en mars de chaque année.

Cette attestation indique le montant global des cotisations versées sur l’exercice fiscal, ainsi que le montant déductible via le dispositif Madelin.

Les équipes BESSE sont disponibles au 09 69 36 37 10 / gestion.appa@besse.fr

L’APPA sera présente au congrès Encéphale


En janvier l’APPA sera présente au congrès de l’Encéphale.


Cette année, ce dernier se déroulera au Palais des Congrès de Paris du 24 au 26 janvier 2024. L’Encéphale s’adresse à toute la communauté francophone des psychiatres.

C’est à la fois…

  • Un congrès annuel de référence en psychiatrie biologique clinique et thérapeutique
  • Un site communautaire, avec « l’Encéphale online » qui offre un contenu scientifique de qualité sur les actualités de la psychiatrie ainsi que toutes les informations pratiques du congrès
  • Une revue scientifique de renom depuis 1906

Chaque année l’encéphale regroupe environ plus de 4 000 participants, parmi lesquels essentiellement des médecins psychiatres mais également des internes, infirmier(e), psychologues et cadres de santé.

La thématique de cette nouvelle édition ? L’intelligence augmentée avec au programme : des débats sur les nouveaux dispositifs de soins, à l’hôpital et hors les murs, mais également des entretiens avec, tenez-vous bien, Natalie Portman et Fabrice Luchini, qui feront assurément partie des temps forts du congrès !

Pour vous inscrire vous pouvez vous rendre sur ce lien.

Des questions sur vos contrats prévoyance et/ou santé ?
Les équipes Bessé-APPA seront présentes sur le stand n°27 pour y répondre alors n’hésitez pas à venir leur rendre une petite visite !

Présentation des partenariats avec les associations d’internes


L’association APPA soutient depuis de nombreuses années les associations d’internes et de « jeunes » spécialistes.


Le souhait du Conseil d’Administration est de nouer avec ces associations un partenariat qui informe ces collègues de l’existence de l’APPA, de ses valeurs de solidarité et de confraternité (gouvernance par des praticiens hospitaliers) dans un cadre associatif et non lucratif.

Nos actions d’information sont centrées sur la nécessité que les praticiens prennent soin d’eux pour mieux soigner les autres !

Nous souhaitons surtout attirer l’attention sur la nécessité de souscrire à une protection sociale en prévoyance et mutuelle adaptée à leurs statuts et de haute qualité. Pour cela, l’APPA leur facilite l’accès à des contrats performants avec des cotisations adaptées à leur rémunération.

Pour les internes de 1ère et 2ème année, l’APPA propose ainsi une prévoyance à 1,50€.

Découvrez dans notre visuel animé, ci-dessus, les associations d’internes partenaires de l’APPA en 2023 et, en exclusivité, celles avec lesquelles elle compte s’associer l’année prochaine !

Top