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Dans le cadre de notre engagement à soutenir les associations d’internes, l’APPA est heureuse de vous présenter son partenariat avec Interview de l’Association des Jeunes Anesthésistes Réanimateurs d’Angers (AJAR ANGERS). Pour mieux comprendre leur mission, leurs projets, et l’impact de ce partenariat pour la communauté neurologique, nous avons interviewé Morgan Galteau, interne en anesthésie et réanimation au CHU d’Angers et président de l’AJAR Angers.

Les Partenaires de l’APPA

L’APPA soutient de nombreuses associations d’internes. Pour en savoir plus, cliquez ici

Bonjour, je m’appelle Morgan Galteau. J’ai 26 ans et je viens de Nantes. Actuellement, je suis interne en anesthésie et réanimation au CHU d’Angers. Je suis également président de l’Association des Jeunes Anesthésistes Réanimateurs d’Angers (AJAR Angers). J’aime bien pouvoir faire vivre la vie étudiante de ma ville. Je suis passionné par mon métier mais j’arrive à prendre du temps pour moi et pour l’association. Dans mon temps libre, je joue souvent aux échecs et j’adore le cinéma.

L’AJAR Angers est une association qui fait suite à l’ancienne association des anesthésistes-réanimateurs d’Angers. Elle a été créée le 26 avril 2022.
Les principaux objectifs de l’association sont de faire vivre le département d’anesthésie réanimation d’Angers, que ce soit par des soirées régulières, des afterblocs le lundi soir ou divers événements.
Nous participons également à la formation continue des internes avec la mise en commun des ressources (charte des internes, base d’articles, topos du lundi…), l’organisation de topos/discussions avec des chefs, l’accueil d’intervenants en association avec l’AJAR France et la diffusion d’informations sur les congrès nationaux.
Enfin, nous accueillons les nouveaux internes avec une soirée d’accueil et un welcome pack.
Nous sommes très sensibles à la cause environnementale qui est prise en compte dans chacune de nos actions.

J’ai décidé de rejoindre le bureau de l’AJAR Angers avant tout pour faire vivre une ambiance conviviale dans le département d’anesthésie réanimation. Il me semble important de donner les clés à chacun pour mieux se sentir dans son cursus médical.

L’AJAR Angers compte 7 membres, tous internes en anesthésie réanimation, allant du 4ème au 8ème semestre. Nous avons pour projet d’accueillir des praticiens hospitaliers à terme.

Nous projetons d’organiser la soirée d’accueil des nouveaux internes. En parallèle de cela, nous mettons en place des soirées entre anesthésistes, urgentistes et chirurgiens, avec qui nous avons l’habitude de travailler.

Pourriez-vous nous en dire plus sur le partenariat entre l’Association des Praticiens Hospitaliers et Assimilés (APPA) et l’AJAR Angers? Comment ce partenariat bénéficie-t-il à vos membres et à la communauté médicale en général ?

Ce partenariat est avant tout pour nous une façon de promouvoir des services, que ce soit des informations via vos guides, ou des contrats à des tarifs assez avantageux, qui nous semblent honnêtes et justes pour nos adhérents.

Quelle est la présence de l’AJAR Angers sur les réseaux sociaux ? Comment utilisez-vous ces plateformes pour interagir avec vos membres et promouvoir vos activités ?

Nous utilisons les réseaux sociaux pour promouvoir nos partenaires et nos événements, notamment sur Instagram, Facebook et bientôt sur un site internet qui est actuellement en développement.

Quels sont les principaux enjeux auxquels l’AJAR Angers est confrontée, notamment en lien avec son partenariat avec l’APPA ? Comment travaillez-vous ensemble pour relever ces défis et renforcer la profession médicale?

L’AJAR Angers existe avant tout pour le bien être de ses adhérents. Il est nécessaire que les internes soient bien informés des enjeux de la responsabilité médicale et des assurances. Cela inclut la compréhension des couvertures offertes par l’APPA et la gestion des risques.
Les internes peuvent parfois se sentir isolés face à des situations complexes. Nous essayons de fournir un soutien en matière de conseils juridiques et de gestion des sinistres en partenariat avec l’APPA.
Organiser des événements où nous faisons une promotion de l’APPA permet de discuter de leurs préoccupations sur la formation médicale.

Comment les membres de l’AJAR Angers peuvent-ils s’impliquer davantage dans les activités de l’association et contribuer à ses objectifs ?

Nous organisons régulièrement des réunions entre tous les membres du bureau pour discuter de la ligne directrice de l’association. Cela permet à tout le monde de s’investir à son échelle dans l’association.

Y a-t-il des projets ou des initiatives spécifiques que vous aimeriez partager avec notre public pour illustrer l’engagement de l’AJAR Angers dans le domaine de l’anesthésie réanimation et de la formation médicale ?

L’initiative la plus importante pour nous est les « topos de chefs », qui permettent de discuter dans un cadre convivial de situations médicales ou de connaissances théoriques. Promouvoir un concept comme celui-là s’inscrit dans une démarche de formation mais également de bien-être pour nos adhérents.

Comment les personnes intéressées peuvent-elles rejoindre ou soutenir l’AJAR Angers? Quels sont les avantages de devenir membre de votre association?

Les avantages sont l’accès à tous nos événements et tous les avantages de nos partenaires. Nous recrutons nos membres sur les réseaux sociaux et lors de nos événements.

Enfin, quel message souhaiteriez-vous transmettre aux futurs professionnels de la santé et à ceux qui pourraient être intéressés par votre association et ses activités ?

Notre association a vocation à créer une atmosphère agréable pour exercer notre futur métier, tout en mettant l’accent sur des choses qui nous semblent essentielles pour notre formation.
Il est nécessaire de poursuivre notre activité pour assurer la qualité de vie des internes d’anesthésie réanimation d’Angers.

Hugo Terpereau, interne en psychiatrIe, Président de l’Association Lilloise de l’Internat et du Post-internat en Psychiatrie (Ali2P), répond à nos questions…

Pouvez-vous vous présenter ?

Je m’appelle Hugo Terpereau, j’ai 26 ans et je suis actuellement interne en 4ème semestre de psychiatrie.

Cette année, j’ai le plaisir de tenir le rôle de président et VP Partenariat de l’Association Lilloise de l’Internat et du Post-internat en Psychiatrie (Ali2P) pour l’année 2023-2024.

Pouvez-vous nous présenter brièvement l’Association ? Quels sont ses principaux objectifs et valeurs ?

Le but de l’association est de favoriser la cohésion, la formation et la représentation des internes mais aussi des PH en psychiatrie à Lille. Pour ce faire, l’association propose des événements à la fois festifs mais aussi pédagogiques, par exemple en traitant de thématiques touchant la psychiatrie au bar avec des intervenants de façon officieuse (nos “café psy”). Elle met en lien les internes avec les différents dispositifs de formations (FST, options, DU) et les représente lors de commissions officielles.

Pourquoi avez-vous décidé de rejoindre le bureau de l’ALI2P ?

L’associatif m’a toujours intéressé, dès l’externat (années d’études avant de devenir interne), j’ai tenu plusieurs rôles à la CEMR (Corporation des Etudiants en Médecine de Reims) et j’y ai passé de très bons moments, noué de très belles amitiés, que je garde encore plusieurs années après. J’aime toucher à tout et m’investir dans une association permet de canaliser cette énergie. Quand est venu le moment de choisir ma ville d’internat, une amie a pu me promouvoir l’Ali2P avec ces multiples projets, je ne pouvais pas refuser.

Combien de membres compte actuellement l’ALI2P, et pourriez-vous nous donner une répartition approximative par types de statuts (internes, externes, praticiens hospitaliers, etc.) ?

L’association compte 15 membres, répartis en différents pôles, le pôle Evénementiel & Culture, tête de flèche de l’association, le pôle chargé de la Communication et des infographies qui nous offre une belle visibilité cette année, le pôle chargé de la Représentation dont la mission est de protéger les internes et de faire valoir leurs voix et enfin le pôle Post-internat qui fait le lien avec les plus anciennes promotions, voire les PH. L’association est majoritairement composée d’internes, mais le Pôle Post-internat est composé d’une jeune cheffe.

Quels sont les événements à venir auxquels l’ANJMIR participe ou qu’elle organise ?

L’Ali2P organise des évènements mensuels : des Afterworks, des Café psy (débat informel autour d’une thématique relevant de la psychiatrie au bar), des Ciné psy (débat informel autour d’un film évoquant une question, une pathologie psychiatrique). En Mars nous avons pu organiser un Afterwork, et un Café psy autour de l’éco-anxiété, en juin nous avons traité des violences conjugales…. D’autres thèmes très intéressants sont à venir pour les mois prochains : transidentité, soins palliatifs en psychiatrie…

Pourriez-vous nous en dire plus sur le partenariat entre l’Association des Praticiens Hospitaliers et Assimilés (APPA) et l’ALI2P ? Comment ce partenariat bénéficie-t-il à vos membres et à la communauté médicale en général ?

Le partenariat avec l’APPA est récent, mais l’Ali2P souhaitait pouvoir faciliter l’accès à la Prévoyance et à la Santé de ses adhérents. Il est naturel dans ce cas de se tourner vers l’APPA qui semble par son fonctionnement orienté pour les praticiens par les praticiens adapté à nos problématiques tout le long de notre pratique. Le partenariat nous permet d’offrir à nos adhérents des offres de Prévention et de Protection, ainsi qu’une sensibilisation aux risques psychosociaux grâce à sa plateforme “Coup de Blouse” déjà bien fournie en contenu intéressant.

Quelle est la présence de l’ALI2P sur les réseaux sociaux ? Comment utilisez-vous ces plateformes pour interagir avec vos membres et promouvoir vos activités ?

L’Ali2P est, grâce à notre équipe de Com’ de choc bien présente depuis ce début de mandat, que ce soit sur Facebook via la page de l’association ou notre page Instagram (@ali2psy). Ces plateformes nous sont utiles pour relayer les informations importantes, que ce soit dans le cadre de la formation des internes, dans le cadre des stages ou, bien sûr, de nos événements.

Quels sont les principaux enjeux auxquels l’ALI2P est confrontée, notamment en lien avec son partenariat avec l’APPA ? Comment travaillez-vous ensemble pour relever ces défis et renforcer la profession médicale ?

Malheureusement, la santé des internes qu’elle soit physique ou psychique n’est pas infaillible. Accidents domestiques et professionnels, burn-out, anxiété… Je pense qu’on a une culture “médicale” qui peut parfois être problématique, notamment en ce sens que nous sommes conditionnés à écouter l’autre avant de nous écouter nous-mêmes. Or, pour être un soignant prêt à aider, il ne faut pas que nous souffrions nous-mêmes. Il s’agit globalement de la notion de risques psychosociaux et de Prévoyance qui fait qu’un tel partenariat a un sens.

Comment les membres de l’ALI2P peuvent-ils s’impliquer davantage dans les activités de l’association et contribuer à ses objectifs ?

Je pense que ses membres se donnent déjà à fond pour proposer à nos adhérents des services toujours plus variés et qualitatifs. Je serais content que l’on continue sur cette lancée toute l’année 😊.

Y a-t-il des projets ou des initiatives spécifiques que vous aimeriez partager avec notre public pour illustrer l’engagement de l’ALI2P?

Un des projets relativement récents de l’Ali2P est de développer un Podcast sur la chaîne YouTube de l’association @‌ALI2P : Psy’nterview. Ce podcast a pour but de promouvoir dans un premier temps la formation de l’internat en psychiatrie, exemple la pédopsychiatrie, l’addictologie, le master, et dans un second temps nous aimerions ouvrir nos sujets autour de la pratique de la psychiatrie, pourquoi pas interviewer des intervenants de tous les jours comme les travailleurs sociaux, des infirmiers spécialisés, etc… ou encore discuter de sujets comme la transculturalité qui gagnent en importance dans notre pratique. N’hésitez d’ailleurs pas à passer sur YouTube !

Comment les personnes intéressées peuvent-elles rejoindre ou soutenir l’ALI2P ? Quels sont les avantages de devenir membre de votre association ?

Tout simplement en participant à nos événements, le but de l’association est de créer de l’échange, on est toujours content de pouvoir partager quelque chose, que ce soit professionnel ou pas ! Ensuite, notre VP Podcast ainsi que l’animatrice de celui-ci seraient ravies de vous voir écouter le fruit de leur travail, n’hésitez pas à laisser un commentaire et à leur dire que vous appréciez leur investissement.

Dr Bertrand Lavoisy, psychiatre hospitalier à l’EPSM Lille-Métropole, à Armentières (59).

Pour en savoir sur les correspondants locaux de l’APPA, découvrez notre page dédiée

Praticien en psychiatrie au sein de l’EPSM Lille-Métropole, à Armentières (59), Dr Bertrand Lavoisy a toujours eu la fibre associative et syndicale au service de ses confrères. Correspondant local de l’APPA dans les Hauts-de-France, il nous raconte son rôle dans l’information et l’accompagnement des (futurs) praticiens…

Pouvez-vous nous raconter votre parcours?

J’ai quelques heures de vol derrière moi, si j’ose dire, puisque j’ai connu le début du concours de praticien hospitalier en 1985. Je suis donc psychiatre hospitalier depuis l’origine du statut. Aujourd’hui, j’arrive en fin de contrat de praticien titulaire puisque je vais embrayer sur un statut de praticien contractuel, en cumul emploi retraite.

Vous avez toujours eu engagement associatif important en parallèle de votre activité médicale…

Oui, toujours, notamment pour aider les futurs confères à la préparation du concours. Il faut se remettre dans le contexte de l’époque : le statut de praticien était très demandé ! A l’échelle nationale, toutes spécialités confondues, il y avait jusqu’à 600 candidats chaque année pour une centaine de postes. Aujourd’hui, c’est l’inverse : il n’y a plus de concours et on a de plus en plus de mal à orienter les nouvelles générations vers la psychiatrie à l’hôpital qui n’est pas dans une situation très enviable.

Bref, en effet, je me suis toujours engagé au service de ma discipline et des nouvelles générations de médecins. J’ai été Président des internes puis, une fois en poste, j’ai monté, avec d’autres praticiens, les conférences de la Madeleine destinées à la préparation du concours dans la région. Le Nord-Pas-de-Calais est connu pour sa fibre associative mais c’est un territoire qui a toujours manqué de psychiatres (encore plus que d’autres)…

Je me suis également engagé au sein du Syndicat des Psychiatres des Hôpitaux, depuis une vingtaine d’années, dont je suis encore membre du bureau, occupant les fonctions de secrétaire et de conseiller à la communication.

Pourquoi avez-vous adhéré à l’APPA?

Ça fait aussi un moment, je me souviens y avoir été sensibilisé de façon indirecte, à un moment où on avait des collègues qui avaient des soucis de santé, mais avec un très faible niveau d’information sur les risques et les éventuelles pertes de revenus liées au statut. J’ai commencé à m’y intéresser sérieusement et j’ai réalisé que personne n’était vraiment au courant. C’était un peu chacun de son côté, chacun dans son coin… Il y avait peu d’intérêt sur ces sujets sauf quand il y avait un problème, avec le risque immense de s’y pencher bien trop tard ! 

C’est dans cette même optique que vous êtes devenu « correspondant local » il y a trois ans ?

Oui, en réalité, je le suis, depuis longtemps, de manière informelle. À chaque fois que les internes arrivent à Armentières, je les contacte pour leur parler de leur poste et de tout ce qui accompagne leur cursus, notamment sur le plan de la couverture santé. Deux fois par an, je prenais contact avec l’APPA pour obtenir des goodies et des supports d’information. Et lorsque Dr Marc Bétrémieux, que je connais depuis longtemps, a pris des fonctions au sein de l’Association, je me suis engagé un peu plus « formellement ».

Quel est votre rôle au quotidien?

Pour ainsi dire, c’est toujours le même : informer, orienter les internes et les médecins de l’hôpital, répondre à leurs questions et préoccupations sur la santé et sur la prévoyance. S’il y a un souci médical, quelles sont les conséquences en termes de salaire ? Comment sont-ils couverts ? Que propose l’APPA, concrètement, notamment par rapport aux concurrents? De nombreux internes prennent leur première mutuelle par l’intermédiaire du bouche à oreille, mais je leur dis toujours : quand vous voulez acheter une voiture, vous ne dites pas « on m’a parlé de cette voiture et donc je vais l’acheter ! » Vous allez voir le modèle, vous demandez combien elle consomme et comment elle marche… C’est un peu pareil pour la couverture santé : il faut se renseigner, comprendre, décrypter, comparer les offres et les garanties…

Est-ce que les questions et les préoccupations évoluent?

Il y a toujours les questionnements sur les statuts, le travail et, de plus en plus, sur l’environnement de travail, c’est-à-dire tout ce qui permet de l’exercer en bonne santé et le plus longtemps possible. Les nouvelles générations sont beaucoup plus soucieuses de leur bien-être, de leur qualité de vie au-delà du travail, et c’est tant mieux ! Le revers de la médaille, c’est qu’on a aussi perdu une sorte de tolérance sur les contraintes de l’activité à l’hôpital, où il y a forcément des gardes et des rythmes différents que dans le privé…

Le sujet des retraites est-il saillant, même pour les jeunes générations?

Oui, cela fait partie des questions qui reviennent régulièrement. Les jeunes ont besoin de savoir là où ils vont, car c’est aussi lié aux évolutions potentielles de statuts, à l’exercice à l’hôpital ou en libéral, etc. On peut trouver beaucoup d’information par soi-même, sur Internet, mais pour moi c’est la même chose que pour le reste : l’humain reste fondamental pour apporter une information qualifiée, adaptée aux besoins et aux questions de chacun. Sur le sujet des retraites, par exemple, le SPH a édité un guide pratique qui est très demandé car il est vraiment pertinent pour répondre aux questions très concrètes des praticiens.

Pour finir, que diriez-vous à un adhérent de l’APPA qui serait intéressé par la mission de correspondant local?

Je dirais tout simplement que c’est une démarche qui doit s’inscrire dans un souci de l’autre, dans le partage de préoccupations communes sur l’exercice du travail, le bien être, la qualité de vie au sens large. C’est le sens même de la notion de mutuelle, comme un bien partagé au service de chacun. Quand on voit les préoccupations des nouvelles générations sur le travail, toutes activités confondues, je trouve que ce rôle et ces questions sont très actuelles…

Marion Giry, interne en médecine intensive – réanimation au CHU de Rouen, répond à nos questions

Pouvez-vous vous présenter ?

Je suis Marion Giry, Docteur en Médecine intensive – Réanimation au CHU de Rouen et présidente de l’ANJMIR depuis juin 2022.

Pouvez-vous nous présenter brièvement l’Association Nationale des Jeunes Médecins Intensivistes – Réanimateurs (ANJMIR) ? Quels sont ses principaux objectifs et valeurs ?

L’ANJMIR est une association créée en 2017 regroupant tous les médecins exerçant la réanimation, au cours de leur formation initiale et jusqu’à 5 ans après la fin de celle-ci (jeunes MIR).

Ses principaux objectifs sont les suivants :

  • Rassembler les jeunes MIR autour d’événements divers
  • Diffuser des informations utiles aux jeunes MIR par divers moyens
  • Veiller à la défense des droits et intérêts moraux, tant collectifs qu’individuels, des jeunes MIR et les représenter
  • Concourir à la bonne formation des jeunes MIR
  • Contribuer à l’amélioration de la qualité de vie des jeunes MIR
  • Contribuer par tous les moyens à la promotion de la Médecine Intensive – Réanimation.

Pourquoi avez-vous décidé de rejoindre le bureau de l’ANJMIR ?

J’ai décidé de rejoindre l’ANJMIR afin d’aider les jeunes MIR à s’épanouir dans leur spécialité et pour participer à mon échelle au développement de la spécialité.

Combien de membres compte actuellement l’ANJMIR, et pourriez-vous nous donner une répartition approximative par types de statuts (internes, externes, praticiens hospitaliers, etc.) ?

L’ANJMIR compte environ 550 membres, 450 internes issus du DESMIR et 100 assistants/chefs de clinique/praticiens hospitaliers.

Quels sont les événements à venir auxquels l’ANJMIR participe ou qu’elle organise ?

L’ANJMIR a organisé au mois de mars 2024 les premières journées jeunes MIR (JJMIRs) à destination de l’ensemble des adhérents de notre association : conférence sur de nombreux sujets, quizz, moments de convivialité ont été au rendez-vous et l’évènement fut un véritable succès. L’édition 2025 est en cours de préparation ! Nous organisons également régulièrement des webinaires, le prochain aura lieu au mois de juin en collaboration avec l’Association française des internes d’Hépato-gastro-entérologie (AFIGHE).

Pourriez-vous nous en dire plus sur le partenariat entre l’Association des Praticiens Hospitaliers et Assimilés (APPA) et l’ANJMIR ? Comment ce partenariat bénéficie-t-il à vos membres et à la communauté médicale en général ?

L’APPA est un partenaire annuel très important pour l’ANJMIR car nous collaborons depuis maintenant plus de trois ans et l’APPA fut un des premiers soutiens de l’ANJMIR ! Nous partageons des valeurs communes notamment la volonté de vouloir améliorer la qualité de vie et la santé mentale de nos adhérents. Nos adhérents profitent donc d’une visibilité augmentée des actions de l’APPA sur ce sujet et notamment de la plateforme « Coup de blouse ».

Quelle est la présence de l’ANJMIR sur les réseaux sociaux ? Comment utilisez-vous ces plateformes pour interagir avec vos membres et promouvoir vos activités ?

L’ANJMIR est présente sur diverses plateformes : FacebookInstagram et X. Nous essayons d’être très actifs sur l’ensemble de ces plateformes afin de communiquer avec tous nos adhérents, mais également avec l’ensemble de la communauté médicale et paramédicale intéressée par nos activités. Les réseaux sociaux sont un de nos moyens privilégiés pour discuter avec nos adhérents !

Quels sont les principaux enjeux auxquels l’ANJMIR est confrontée, notamment en lien avec son partenariat avec l’APPA ? Comment travaillez-vous ensemble pour relever ces défis et renforcer la profession médicale ?

Comme discuté précédemment, l’ANJMIR et l’APPA partage la volonté de combattre les risques psychosociaux. Pour cela, l’ANJMIR a réalisé plusieurs enquêtes pour évaluer la situation des internes en MIR. De plus, nous avons réalisé un webinaire avec l’APPA sur ce sujet l’année dernière et nous partageons régulièrement l’ensemble des initiatives de l’APPA afin d’améliorer la qualité de vie des internes.

Comment les membres de l’ANJMIR peuvent-ils s’impliquer davantage dans les activités de l’association et contribuer à ses objectifs ?

Nous sommes constamment en train de chercher des membres pour rejoindre notre bureau afin de développer l’ensemble de nos activités. Le renouvellement du bureau de l’ANJMIR a lieu chaque année lors de notre assemblée générale en juin. Nous sommes actuellement en train d’essayer d’étoffer notre pôle qualité de vie afin de pouvoir assurer un de nos objectifs. N’hésitez pas à nous rejoindre !

Y a-t-il des projets ou des initiatives spécifiques que vous aimeriez partager avec notre public pour illustrer l’engagement de l’ANJMIR dans le domaine de la Médecine intensive – Réanimation et de la formation médicale ?

En plus, de l’organisation annuelle de journées jeunes MIR (JJMIRs) et celle pluriannuelle de webinaires, l’ANJMIR réalise également des infographies sur des articles fondateurs de notre pratique médicale en MIR à raison d’une infographie par mois, n’hésitez pas à rejoindre nos réseaux pour y avoir accès !

Comment les personnes intéressées peuvent-elles rejoindre ou soutenir l’ANJMIR ? Quels sont les avantages de devenir membre de votre association ?

Les personnes intéressées par l’ANJMIR peuvent nous contacter par mail à jeunesmir@gmail.com. Être membre de l’ANJMIR permet d’avoir accès à l’ensemble des événements organisés par l’ANJMIR ainsi que recevoir la newsletter mensuelle avec de nombreuses informations précieuses !

Enfin, quel message souhaiteriez-vous transmettre aux futurs professionnels de la santé et à ceux qui pourraient être intéressés par votre association et ses activités ?

L’ANJMIR reste disponible pour toutes les personnes intéressées par notre association et ses activités, n’hésitez pas à nous contacter si vous avez des questions sur l’ANJMIR ou sur la MIR en général !

L’association APPA soutient depuis de nombreuses années les intersyndicales et syndicats de praticiens hospitaliers.

L’association soutient depuis de nombreuses années les intersyndicales et syndicats de praticiens hospitaliers.

Le souhait du Conseil d’Administration est de nouer avec ces organisations un partenariat pour informer leurs adhérents de l’existence de l’association APPA, de ses valeurs de solidarité et de confraternité (gouvernance par des praticiens hospitaliers bénévoles) dans un cadre associatif et non lucratif.

Il s‘agit de les sensibiliser sur les lacunes statutaires des PH & HU en matière de protection sociale, notamment sur les dispositions qui leur sont applicables en cas d’arrêt de travail (maladie, longue maladie, longue durée).

Les informations mises à disposition des intersyndicales et des syndicats sont ensuite retransmises à leurs adhérents par leurs canaux d’information habituels (newsletters, communiqués, revues, etc.).

Ces informations insistent sur la nécessité de souscrire des contrats performants et adaptés à leurs statuts, auxquels l’association leur facilite l’accès.

Pour en savoir plus sur les partenariats de l’APPA, découvrez notre page dédiée

L’une des missions qui tiennent à cœur à l’APPA est de soutenir les associations qui œuvrent à l’hôpital. Ces associations redonnent espoir et font rêver les patients, souvent très jeunes. Elles permettent également au personnel hospitalier de passer des moments agréables au milieu de leurs longues journées, apportant ainsi du baume au cœur à tout le monde.

Pour en savoir plus sur les engagements et les partenariats de l’APPA, rendez-vous sur notre page dédiée.

L’APPA continue à soutenir financièrement plusieurs associations, qui partagent un engagement peur améliorer le bien-être des enfants hospitalisés en France.

Elles utilisent toutes des approches différentes, mais elles partagent toutes le même objectif : apporter du réconfort, de la joie et de l’espoir aux enfants qui vivent une expérience difficile.

Les dons de l’APPA participent au financement de leurs projets. Vous pouvez aussi les aider…

Fondée en 1986, l’association Enfants à l’Hôpital est reconnue d’utilité publique et se consacre à améliorer le quotidien des enfants hospitalisés en France.

Elle organise des activités de divertissement, offre un soutien psychologique et accompagne les familles, apportant ainsi du réconfort et de la joie aux enfants durant leur hospitalisation.

Colore Mon Hôpital est une association française dédiée à l’amélioration du cadre de vie des enfants hospitalisés en transformant les environnements hospitaliers grâce à l’art et à la couleur. L’objectif est de rendre les espaces hospitaliers plus chaleureux et accueillants pour les jeunes patients.

L’association Tournesol se consacre à redonner le sourire aux enfants hospitalisés en leur proposant des activités ludiques et créatives. Par le biais de jeux et de créations artistiques, elle transforme les journées des jeunes patients en moments plus joyeux.

Depuis 1994, Les Clowns de l’Espoir apportent réconfort et joie aux enfants hospitalisés grâce à des interventions de clowns professionnels. Leur mission ne s’arrête pas là, puisqu’ils se produisent également dans les maisons de retraite et les centres spécialisés, répandant bonheur et espoir partout où ils passent.

Depuis 1998, Clowns Z’hôpitaux forme et envoie des clowns professionnels dans les hôpitaux pour divertir les enfants malades. Avec des rires et des sourires, ils apportent de la joie et un peu de légèreté dans le quotidien des jeunes patients.

Créée en 1991, Le Rire Médecin propose des spectacles de clowns professionnels aux enfants hospitalisés, convaincue que le rire est une thérapie précieuse pour soulager la douleur et l’anxiété. Ces moments de joie sont une bouffée d’air frais pour les jeunes patients et leurs familles.

Eclats de l’île est une association réunionnaise dédiée à l’amélioration du quotidien des enfants hospitalisés à La Réunion. Par le biais d’animations, d’ateliers et de spectacles, elle apporte des sourires et des moments de bonheur aux jeunes patients.

Ce nouveau soutien de l’APPA va servir à financer une partie de leur projet de court métrage abordant les liens entre ce qui se passe dans le cerveau d’un enfant subissant maltraitances physiques et psychologiques et les conséquences cognitives, comportementales, émotionnelles et relationnelles et des possibilités de reconstruction.

Le court métrage est en cours de production. Nous ne manquerons pas de le relayer dans une prochaine lettre de l’APPA.

Nous avons le plaisir d’annoncer notre nouveau partenariat avec l’Association des Jeunes Pneumologues (AJP02). Pour l’occasion, nous avons interviewé sa nouvelle Présidente sur les initiatives, les défis et les aspirations de l’équipe.

Pour en savoir plus sur l’AJPO2, rendez-vous sur son site

Pouvez-vous vous présenter ?

Marina Gueçamburu, je suis interne en pneumologie au CHU de Bordeaux, actuellement en 6ème semestre. J’ai eu la chance de succéder au Dr Dimitri Leite Ferreira à la présidence de l’association en janvier 2024. Concernant le bureau, il est composé de 6 autres internes en pneumologie :

  • Léa Rieau-Artur (Paris), secrétaire générale
  • Lucien Juret (Clermont-Ferrand), trésorier
  • Lucie Scatoli (Dijon), responsable interrégionale
  • Tom Bastin (Caen), responsable newsletter
  • Inès Duparc (Rouen), responsable évènementiel et webinaire
  • Coraline Cheuvart (Clermont-Ferrand), responsable réseaux sociaux et webinaire

Pouvez-vous nous présenter brièvement l’association des internes et jeunes chefs de Pneumologie (AJPO2) ? Quels sont ses principaux objectifs et valeurs ?

L’AJPO2 est une association régie par la loi 1901, créée initialement par des internes lyonnais en 2006 puis développée au niveau national. Les objectifs de l’association sont multiples : améliorer la pratique et la formation des jeunes pneumologues, représenter les internes de pneumologie au niveau des syndicats nationaux et instances (Société de Pneumologie de Langue Française (SPLF), Collège des Enseignants de Pneumologie (CEP), ISNI), participer financièrement aux différents congrès (Congrès de Pneumologie de Langue Française (CPLF), European Respiratory Society (ERS)).

A travers ses actions (organisation de webinaires, rédaction de newsletters, publication de la revue du jeune pneumologue, publication d’annonces de poste), l’AJPO2 a pour vocation de rassembler et de créer un lien entre les internes de pneumologie francophones.

Pourquoi avez-vous décidé de rejoindre le bureau de l’AJPO2 ?

La volonté de l’AJPO2 de s’impliquer dans la formation des internes a été un moteur m’incitant à m’impliquer dans l’association. Il s’agit d’un lieu de rencontre et d’échanges enrichissants avec des internes d’autres villes. La proximité de l’association avec des instances de pneumologie telles que la SPLF ou le CEP a également motivé mon implication au sein de l’association.

Combien de membres compte actuellement l’AJPO2, et pourriez-vous nous donner une répartition approximative par types de statuts (internes, externes, praticiens hospitaliers, etc.) ?

Pour l’année 2023-2024, l’AJPO2 compte 370 adhérents dont 80% d’internes et 20% de chefs de cliniques, assistants et praticiens hospitaliers de moins de 35 ans. L’association compte des adhérents sur l’ensemble du territoire national.

Quels sont les événements à venir auxquels l’AJPO2 participe ou organise-t-elle ?

Le fil rouge de l’année 2024 est l’organisation d’une journée d’accueil pour les internes de pneumologie en phase socle, soit en 1ère année d’internat. L’objectif de cette journée sera de présenter la SPLF, les différentes instances et l’AJPO2. Nous avons également pour objectif de présenter l’ensemble des sur-spécialisations disponibles : oncologie, sommeil, maladies allergiques, addictologie, pharmacologie et soins palliatifs. Cette journée nationale aura lieu en hybride : en présentiel à Paris et en visio pour les internes ne pouvant se déplacer.

En parallèle, l’AJPO2 dispose d’un stand lors du CPLF et organise une soirée lors de ce même congrès afin de favoriser les échanges entre les internes de différentes subdivisions.

Pourriez-vous nous en dire plus sur le partenariat entre l’Association des Praticiens Hospitaliers et Assimilés (APPA) et l’AJPO2 ? Comment ce partenariat bénéficie-t-il à vos membres et à la communauté médicale en général ?

Le partenariat entre l’APPA et l’AJPO2 a pris naissance lors de la promotion de la plateforme Coup de blouse . Cette plateforme apporte des informations, des outils et des contacts utiles concernant la souffrance au travail, à l’hôpital.

Quelle est la présence de l’AJPO2 sur les réseaux sociaux ? Comment utilisez-vous ces plateformes pour interagir avec vos membres et promouvoir vos activités ?

L’AJPO2 est présente sur Instagram, Facebook, Twitter et LinkedIn. Les réseaux sociaux sont un réel outil de communication pour informer nos adhérents des nouveautés ou événements à venir. Nous sommes également joignables par mail et restons disponibles pour tout échange. Enfin, notre site internet permet de mettre en relation les internes/jeunes chefs et les différents services hospitaliers ayant des postes disponibles.

Quels sont les principaux enjeux auxquels l’AJPO2 est confrontée, notamment en lien avec son partenariat avec l’APPA ? Comment travaillez-vous ensemble pour relever ces défis et renforcer la profession médicale ?

L’AJPO2 est l’interlocuteur privilégié des internes de pneumologie. La plateforme Coup de blouse permet de rassembler l’APPA et l’AJPO2 sur des problématiques communes à savoir le bien-être au travail, avec un accent sur les risques psychosociaux.

Y a-t-il des projets ou des initiatives spécifiques que vous aimeriez partager avec notre public pour illustrer l’engagement de l’AJPO2 dans le domaine de la formation médicale ?

Sur le plan de la formation médicale, l’AJPO2 est soucieuse de développer des contenus pédagogiques pour ses adhérents. Premièrement, les adhérents ont accès au site de la SPLF, de l’ERS contenant de nombreuses ressources pédagogiques et la possibilité de passer l’examen HERMES afin de se confronter aux exigences européennes en fin de cursus. Ensuite, des webinaires mensuels sont organisés sur des thématiques variées et accessibles en replay.

Enfin, une newsletter est publiée tous les trimestres et la revue du jeune pneumologue, deux fois par an. Cette dernière contient différentes rubriques : revue des articles pertinents des 6 derniers mois, point sur une thématique d’intérêt, présentation d’un métier paramédical (kinésithérapeutes, infirmiers en pratique avancée, conseillers médicaux en environnement intérieur, diététiciens), présentation d’une association de patient avec point sur pathologie correspondante (mycobactérie non tuberculeuse, fibrose pulmonaire, tumeur neuro endocrine) etc.

Comment les personnes intéressées peuvent-elles rejoindre ou soutenir l’AJPO2 ? Quels sont les avantages de devenir membre de votre association ?

Différents formats d’adhésion existent incluant un abonnement à la revue des maladies respiratoire de la SPLF, la revue Info Respiration, l’inscription à la SPLF et à l’ERS. L’inscription est ouverte à tous les internes de pneumologie mais également à tous les pneumologues francophones de moins de 35 ans.

Les fonds récoltés par les différents dons et partenariats nous permettent d’encourager les internes à présenter leurs travaux lors du congrès national (CPLF) et européen (ERS) en remboursant les frais d’inscription et une partie des frais de déplacement.

Enfin, quel message souhaiteriez-vous transmettre aux futurs professionnels de la santé et à ceux qui pourraient être intéressés par votre association et ses activités ?

Rejoignez-nous ! Les réunions de bureau régulières sont de véritables lieux d’échanges, chaque idée est la bienvenue et de nombreux projets sont en cours. Nous sommes disponibles et seront ravis d’échanger avec vous par mail ou sur les réseaux sociaux.

Dans le cadre de notre engagement à soutenir les associations d’internes, l’APPA est heureuse d’annoncer son nouveau partenariat avec l’Association Nationale des Assistants et Internes en Neurologie de France (ANAINF). Pour mieux comprendre leur mission, leurs projets, et l’impact de ce partenariat pour la communauté neurologique, nous avons interviewé Alexander Balcerac, interne de neurologie à Paris et président de de l’ANAINF.

Pouvez-vous vous présenter ?

Je suis Alexander Balcerac, interne de neurologie à Paris et président de l’Association Nationale des Assistants et Internes en Neurologie de France (ANAINF).

Pouvez-vous nous présenter brièvement Association Nationale des Assistants et Internes en Neurologie de France (ANAINF) ? Quels sont ses principaux objectifs et valeurs?

L’Association Nationale des Assistants et Internes en Neurologie de France (ANAINF) est l’instance officielle représentant les jeunes neurologues de France : internes, CCA, Assistants etc… Le rôle de cette association est triple :

  • Syndical avec la représentation des internes de neurologie auprès des sociétés séniors, mais également des institutions françaises et Européenne.
  • Associatif avec l’organisation d’évènements, la communication d’informations, la promotion des échanges entre jeunes neurologues.
  • Scientifique avec la coordination de sessions de congrès, la mise en œuvre d’outils de formation et l’aide à la participation aux congrès nationaux.

Pourquoi avez-vous décidé de rejoindre le bureau de l’ANAINF ?

Rejoindre l’ANAINF permet de participer activement à sa formation et à l’amélioration des conditions de travail des jeunes neurologues, tout en rencontrant des jeunes médecins de la France entière et en participant à des évènements passionnants.

Combien de membres compte actuellement l’ANAINF, et pourriez-vous nous donner une répartition approximative par types de statuts (internes, externes, praticiens hospitaliers, etc.) ?

L’ANAINF compte actuellement dans son réseau et sa mailing liste officielle environ 1200 membres, dont 500 internes et 700 jeunes neurologues (CCA, Assistants, PH, libéraux).

Quels sont les événements à venir auxquels l’ANAINF participe ou organise-t-elle ?

L’ANAINF organise tous les ans la journée nationale de rentrée de tous les nouveaux internes de neurologie. Elle participe également aux Journées de Jeunes Neurologues et aux Journées de neurologie. Enfin, elle participe à différents évènements de formation dans les régions ainsi que nationalement sous forme de webinaires.

Pourriez-vous nous en dire plus sur le partenariat entre l’Association des Praticiens Hospitaliers et Assimilés (APPA) et l’ANAINF ? Comment ce partenariat bénéficie-t-il à vos membres et à la communauté médicale en général ?

Le partenariat entre l’APPA et l’ANAINF permet aux membres de l’ANAINF d’être au fait des questions de prévoyance, de leurs statuts, des actualités réglementaires ou de prévention de la souffrance au travail.

Quelle est la présence de l’ANAINF sur les réseaux sociaux ? Comment utilisez-vous ces plateformes pour interagir avec vos membres et promouvoir vos activités ?

L’ANAINF est présent sur l’ensemble des réseaux sociaux : Facebook, Instagram, twitter, LinkedIn. La plateforme principale est Instagram, sur laquelle nous faisons à la fois de la transmission d’information et de la formation continue. En plus des réseaux sociaux nous utilisons également notre newsletter par mail, par laquelle sont transmis la majorité des informations : évènements, actualités, aspects règlementaires etc…

Quels sont les principaux enjeux auxquels l’ANAINF est confrontée, notamment en lien avec son partenariat avec l’APPA ? Comment travaillez-vous ensemble pour relever ces défis et renforcer la profession médicale ?

L’ANAINF est confrontée à de nombreuse questions de santé au travail et impliquées dans certaines questions réglementaires, des statuts et des droits. Cette vision commune de l’ANAINF et de l’APPA permet une synergie visant à améliorer les conditions d’exercice des jeunes neurologues.

Comment les membres de l’ANAINF peuvent-ils s’impliquer davantage dans les activités de l’association et contribuer à ses objectifs ?

Les membres peuvent s’impliquer dans les activités de l’association au sein du bureau mais également par des actions ponctuelles, locales ou nationales.

Y a-t-il des projets ou des initiatives spécifiques que vous aimeriez partager avec notre public pour illustrer l’engagement de l’ANAINF dans le domaine de la neurologie et de la formation médicale ?

L’ANAINF réalise actuellement de nombreux projets de formation, notamment l’élaboration d’un document sous forme de livret pour les nouveaux internes neurologie, servant de « pense-bête » avec une synthèse des informations à avoir sur soi pendant une garde : scores cliniques, recommandations principales etc.

Comment les personnes intéressées peuvent-elles rejoindre ou soutenir l’ANAINF ? Quels sont les avantages de devenir membre de votre association ?

L’ANAINF est une association ouverte à tous les jeunes neurologues, l’adhésion se fait directement sur notre site internet et permet de bénéficier de nombreux avantages : accès au contenu de formation, aux évènements…


 

 

Cette année, les équipes de l’Association de Bessé seront présentes sur de nombreux congrès médicaux pour répondre à toutes vos questions.

Sortez vos agendas et saisissez ces opportunités pour rencontrer nos équipes d’experts.

  • Encéphale : au Palais des Congrès de Paris, du 24 au 26 janvier, assistez à l’événement de référence dans le domaine de la psychiatrie et de la santé mentale.

  • Hopipharm : au Carré des Docks du Havre, du 29 au 31 mai pour découvrir les dernières tendances en pharmacie hospitalière.

  • Urgences : au Palais des Congrès de Paris, du 5 au 7 juin pour découvrir les dernières innovations en matière de soins d’urgence.

  • SFAR – Société Française d’Anesthésie et Réanimation : au Palais des Congrès de Paris, du 18 au 20 septembre. Pour découvrir les dernières innovations en anesthésie et réanimation.

  • SIP  – La Société de l’Information Psychiatrique : au Palais des Congrès d’Arcachon du 3 au 5 octobre. Venez assister à la 42ème journées,  dédiée aux troubles psychiatriques et différences sexuelles.

  • CFP – Congrès Français de Psychiatrie : au Couvent des Jacobins à Rennes du 27 au 30 novembre, sous le format Phygital, le thème de cette édition sera autour du mot « esprit ».

Nous sommes impatients de participer à ces événements et espérons vous y retrouver nombreux pour des échanges enrichissants.

Régulièrement, nous vous présentons les portraits de celles et ceux qui représentent et administrent, de façon bénévole votre association APPA. Ce mois-ci, à l’honneur, une femme passionnée et engagée, administratrice et trésorière de l’Association depuis 2009.

Dr. Danièle Goumard a démarré sa carrière d’anesthésiste-réanimatrice au centre hospitalier de Gisors (Eure) après ses études de médecine à Nancy. Elle y a gravi progressivement les échelons jusqu’à devenir cheffe de service, tout en assumant le goût de l’agenda bien rempli : création du SMUR local, encadrement des internes, publications scientifiques, cours de secourisme, enseignement à l’école d’infirmières de l’hôpital, etc.

En 1987, à la faveur d’une mutation liée à son statut de praticien, elle retrouve sa terre d’origine – ou plutôt son océan, sur le rivage de La Rochelle. Pendant plus de deux décennies, elle poursuit sa carrière passionnée au cœur de l’hôpital, en participant également à la formation des nouvelles générations et à de nombreuses activités associatives, locales ou nationales, au service de sa spécialité ; elle a notamment été membre titulaire de la SFAR – Société française d’anesthésie et de réanimation et du CFAR – Collège Français des Anesthésistes-Réanimateurs, dès sa création, où elle a occupé plusieurs fonctions, entre le bureau du Collège et sa commission pionnière dédiée à la Santé du Médecin Anesthésiste Réanimateur au Travail (SMART). Elle intervient en parallèle sur des missions d’expertise pour le compte de différentes institutions, comme l’ARS, la région Poitou-Charentes ou le Ministère de la Santé sur le thème de la périnatalité.

Aujourd’hui retraitée, Danièle Goumard continue de naviguer entre plusieurs de ses engagements, notamment pour l’APPA et le temps familial qui se partage, comme elle, entre La Rochelle et l’Île de Ré. Elle incarne une force tranquille qui conjugue l’énergie du mouvement et la douceur du yoga, un pied marin bien ancré et de nouveaux océans à explorer, dans la foulée de ses voyages passionnants en Antarctique ou dans les Îles Marquises…